Les besoins des handicapés

Les besoins des handicapés et des personnes à mobilité réduite varient beaucoup selon le cas, mais leurs besoins sont aussi les mêmes que les gens « normaux » et ils essaient également d’améliorer leur qualité de la vie. Malheureusement, les personnes non-handicapées ne comprennent pas toujours que l’infirmité en soi n’est qu’une partie naturelle de l’expérience humaine et souvent se font de fausses idées en destinant les personnes handicapées à une mauvaise qualité de la vie. Or, les personnes handicapées et à mobilité réduite peuvent avoir une « vie normale » s’ils ont facilement accès aux services communautaires comme les soins médicaux, aux bâtiments, aux transports publics, aux trottoirs, etc. Même les personnes présentant un handicap sévère peuvent effectuer leur métier comme les autres, pourvu qu’ils puissent recevoir des soins médicaux de haute qualité et des équipements adéquats, ce que n’est pas toujours le cas. On ne peut qu’être concerné quand on constate que malgré les capacités de ces personnes, le handicap continue de l’être faute d’un système de soutien communautaire.

Mobilier urbain, rampe d’accès, guidage, signalétique visuelle, sonore…des équipements de plus en plus innovants permettent de faciliter la vie des personnes à mobilité réduite. Par ailleurs, la recherche tente d’apporter des réponses médicales, mais hélas, elle est souvent bloquée par des protocoles.

Un jeune handicapé exige une chance égale et il a donc besoin d’aides telles qu’un soutien lors d’examen, des équipements spéciaux, une assistance à la bibliothèque et pour la prise de notes dans les classes, une mise à disposition d’un parking à proximité. Ces soutiens sont indispensables pour faciliter la vie des personnes handicapées et à mobilité réduite et leur permettre d’avoir un train de vie normal.

A – Il faut s’assurer que chaque enfant handicapé ait accès à la formation gratuite dans un environnement convenable jusqu’à ce qu’il ait 18 ans.

B – Il faut essayer d’encourager l’intégration des étudiants handicapés dans des écoles « normales ».

C – Il faut établir des écoles spécialisées pour l’accueil d’enfants handicapés dans les secteurs gouvernementaux et privés pour que ceux-ci aient un accès libre à ces structures dans plusieurs endroits de notre pays.

D – Il faut munir les écoles spécialisées recevant des enfants handicapés de passerelles avec la formation professionnelle.

Un fauteuil roulant, un appareil auditif, une canne blanche, même s’ils traduisent un handicap, ne devraient pas empêcher l’accès a l’école ou à l’emploi. En 2013, l’intégration du handicap dans la société doit être une priorité.